DE RETOUR DE LEUR STAGE DE BASKET AVEC TONY PARKER, 4 ENFANTS DE COLLABORATEURS PARTAGENT LEUR EXPERIENCE
Il y a un an, la star mondiale du basket, s'était rendue à Batilly à la rencontre des membres du personnel. Cette journée avait été l’occasion pour Tony Parker de visiter l’usine, d’échanger quelques dribbles et de faire des centaines de selfies avec les équipiers mais aussi d’offrir des places à 5 enfants du personnel et 3 enfants de clubs de basket locaux pour un stage de formation dans les Parker Camp.
Depuis 2007, Tony Parker souhaite donner la chance à des basketteurs âgés de 11 à 17 ans, de venir s’entraîner pendant 1 semaine en bénéficiant de ses conseils ainsi que ceux des meilleurs coaches français. Le but est d’offrir à ces jeunes basketteurs les meilleures infrastructures possibles, pour leur permettre de pratiquer leur passion dans les meilleures conditions.
Début juillet, Laura Pasinetti, Florine Dubois, Mathilde Basic et Thomas Alexandre sont allés à Villeurbanne ou à Fécamp pour participer à une semaine d’entrainement de basket intensive. A leur retour, mercredi 27 juillet, les enfants se sont rendus à l’usine pour partager leur enthousiasme avec Javier Novo, le directeur.
« C’était génial ! J’ai même grandi d’1 cm à force de m’entrainer ! » a livré Laura, la fille de Fabrice Pasinetti, chef d’UET en Peinture.
Le fils de Laurent Alexandre, analyste qualité au Montage, Thomas, quant à lui, est content d’avoir amélioré son niveau de jeu : « La semaine était intensive, basket matin, après-midi et soir ! On a appris beaucoup de nouvelles techniques grâce aux coaches professionnels, c’était très intéressant ! »
« Je suis contente d’avoir pu revoir Tony Parker, même si c’était court ! C’était une belle semaine pleine de rencontres ! » raconte Mathilde Basic, la belle-fille de Philippe Poignant, opérateur en tôlerie.
Florine, la cadette du groupe, dont la mère, Carine Dubois, est organisateur industriel, a eu un peu moins de chance que les autres puisqu’elle s’est blessée dès son premier jour de formation. C’est tout de même avec le sourire et de bons souvenirs que Florine a raconté son séjour.
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