L’année dernière, Citroën a annoncé vouloir ressusciter sa voiture iconique d’ici 2028. Mais les nouvelles rumeurs laissent entrevoir une "Toute Petite Voiture" pour 2025/2026. Le tout, sur fond de brevets déposés par la marque. On vous explique pourquoi son retour est bien plus qu’un simple fantasme nostalgique.
La 2CV : un retour attendu ou un simple fantasme ? ⚡️
Pas de blabla inutile, juste des sensations pures : la 2CV n’est pas une histoire de nostalgie mal digérée, c’est LA bagnole que tout le monde attend sans jamais oser l’avouer. Oui, les puristes vont râler – ils râlent déjà avant même de voir la calandre. Mais on est là pour les vrais trucs : une voiture simple, honnête, qui ne se cache pas derrière trois écrans tactiles et un tarif lunaire. L’époque a changé, mais le besoin d’une caisse abordable, légère et pétillante n’a jamais disparu. La renaissance de la 2CV ? Ce n’est pas un caprice de collectionneur en mal d’émotion : c’est une réponse béton aux galères actuelles – mobilité urbaine étouffante, coûts d’entretien délirants, course effrénée à la technologie pour cacher l’ennui.
Citroën relancera sa 2CV en 2025 ou 2026 parce que le concept demeure profondément pertinent. Il ne s'agit pas de nostalgie, mais d'une demande réelle de caractère authentique.
Le retour régulier du mythe 2CV
La 2CV, c’est le mythe increvable. À chaque crise, à chaque fois que les voitures deviennent fades ou hors de prix, on reparle du retour de cette icône. Pourquoi ? Parce qu’elle représente – et c’est rare – une vision claire : rendre la route accessible à tous sans sacrifier l’âme. Des générations entières ont fantasmé sur ses suspensions molles et sa gueule inimitable. Le mythe persiste parce que personne n’a su remplir ce vide depuis la fin de la production… Trop d’uniformité tue l’envie.
Rumeurs et brevets : ce que l'avenir réserve à la 2CV (E-Car, 2028 ?)
On arrête avec les spéculations floues : il y a du concret dans l’air côté Stellantis. Entre brevets déposés et fuites organisées autour d’une E-Car au style néo-rétro (plateforme Smart Car partagée avec d’autres modèles sobres), Citroën laisse filtrer quelques indices – mais jamais trop pour calmer les impatients !
Points clés à retenir :
- Plusieurs brevets récents déposés autour du design de citadines compactes façon "Toute Petite Voiture" (TPV),
- Plateforme Smart Car confirmée sur des futurs modèles sobres et électrifiés,
- Concept d’E-Car évoqué pour fin 2025-début 2026,
- Rumeurs persistantes sur un lancement grand public entre 2026 et 2028,
- Personnalités impliquées dans la stratégie produit : Thierry Koskas (CEO Citroën) appuie sur l’accessibilité ; Xavier Chardon pousse le style différenciant.
Une anecdote parlante : lors d’une réunion confidentielle début 2024, un responsable design aurait affirmé "si on rate la nouvelle 2CV, on rate l’Europe populaire". Voilà qui pique – mais c’est bien ce genre de prise de risques qui manque ailleurs.
Pour comprendre l’importance de la Deuche dans le paysage automobile français, consultez notre sélection des meilleures voitures françaises. Cela permet de mieux cerner les attentes réelles envers une voiture made in France.
Motorisations envisagées pour la nouvelle 2CV : électrique, hybride ou thermique ? 💨
Pas de suspense inutile : la 2CV du futur, si elle débarque vraiment, ne fera aucun compromis avec les normes d’hier. Alors, électrique, hybride ou résidu thermique pour les irréductibles ? On fait le tri sans langue de bois !
La 2CV électrique : une modernité prometteuse
La messe est presque dite : la 2CV électrique, c’est l’option la plus crédible chez Stellantis. Les rumeurs sur l’E-Car parlent d’une autonomie honnête (200 à 300 km selon les projets sérieux), d’un poids maîtrisé autour des 1000 kg maxi et d’un vrai statut de voiture – rien à voir avec une Citroën Ami de supermarché. Ici, on parle de sécurité GSR 2 au programme, de vraie modularité… et d’un silence total, qui va trancher net avec le pot-de-yaourt d’origine !
Les avantages sont évidents : coût d’utilisation ultra-bas (entretien quasi nul, recharge bon marché en heure creuse), image éco-responsable béton et accès aux centres-villes sans badge magique. C’est probablement le seul choix cohérent pour passer les prochaines décennies sans se prendre une taxe tous les trois mois.
L’hybride : une étape intermédiaire pour consommation et budget
On ne va pas faire semblant : l’hybride s’impose comme une solution politique autant que technique. Sur la plateforme Smart Car du groupe Stellantis, un petit moteur trois cylindres micro-hybridé pourrait parfaitement coller à l’esprit Deuche nouvelle génération. Résultat ? Consommation en chute, autonomie rassurante pour ceux qui flippent devant une borne vide – et surtout un tarif qui pourrait calmer ceux qui voient rouge devant le prix de l'électrique.
L’objectif est de toucher un public plus large et d’offrir une alternative aux sceptiques du tout électrique. Ceux qui cherchent une voiture neuve abordable peuvent également consulter notre sélection des voitures neuves pas chères.
Anecdote en béton armé : lors du développement d’un prototype hybride urbain chez Stellantis, certains ingénieurs auraient exigé que le mode "zéro bruit" soit désactivable… histoire de garder un peu de caractère mécanique dans cette époque aseptisée.
Une version thermique : un clin d’œil rétro peu probable
Soyons francs : une vraie 2CV thermique neuve, aujourd’hui, ça tient plus de la science-fiction que du projet industriel solide. Les normes anti-pollution sont impitoyables. Pourtant… on ne peut pas totalement exclure un clin d’œil historique façon série ultra-limitée – ou alors pour des marchés où "norme Euro 7", ça ne veut rien dire.
On entend déjà les râleurs rêver d’un bicylindre rustique à carbu simple ; mais oubliez l’idée d’en voir débarquer dans vos concessions en France. Peut-être quelques modèles thermiques optimisés pour l’export ou bien un retrofit officiel sur base ancienne… Mais pour la grande majorité des conducteurs européens modernes ? Ce sera silence radio côté essence.
Prix et positionnement : la nouvelle 2CV face aux attentes des passionnés et du grand public 💰
Oubliez tout de suite la promesse d’une "Deuche" à moins de 10 000 €. On n’est plus en 1980. Aujourd’hui, la bataille du prix, c’est un ring où même les constructeurs historiques se font malmener par les nouveaux venus asiatiques. Entre rumeurs et indiscrétions dans l’industrie, le ticket d’entrée pour une future 2CV électrique se balade entre 15 000 € (rêve optimiste, bonus déduit) et 25 000 € selon la finition ou la série spéciale. Certains osent parler de séries à plus de 28-30 000 € pour des versions bardées d’options inutiles – mais ça, c'est bon pour ceux qui veulent cramer leur épargne pour du gadget.
Le défi principal est de proposer un prix en dessous de la barre psychologique des 20 000 €. Sans cela, la 2CV moderne risque de rester un rêve inaccessible, et Citroën manquerait une opportunité majeure.
🌟🌟🌟 (sur 5) - L’accessibilité tarifaire est un critère déterminant pour le succès de cette future 2CV. Un prix trop élevé entraînerait un échec auprès des jeunes et des familles, fatigués des mensualités trop lourdes.
Concurrence : se démarquer dans un marché saturé
Le segment est piégé : Renault prépare sa 5 E-Tech (autour de 25-28 k€), Fiat rameute sa Panda électrique dès 20 k€ annoncés, et Dacia tente le coup avec sa Spring à 18-22 k€. À côté, les "kei cars" japonais comme la Nissan Sakura cassent la baraque au Japon mais restent confidentiels en Europe – question d’homologation surtout. Se démarquer, ce n’est pas juste aligner un prix compétitif : c’est offrir du caractère sans compromis crétin sur l’essentiel.
| Modèle | Prix estimé (€) | Autonomie (km) | Plateforme | Caractère ? |
|---|---|---|---|---|
| Citroën "2CV" | 15-25k | 200-300 | Smart Car | Néo-rétro |
| Renault 5 E-Tech | 25-28k | ~400 | AmpR Small | Vintage pop |
| Fiat Panda Electric | ~20k | ~250 | Stellantis | Basique |
| Dacia Spring | 18-22k | ~230 | CMF-A | Minimaliste |
| Citroën Ami | <10k | ~75 | Spécifique | Kitsch pur |
L’accessibilité : un véritable ADN ou un simple argument marketing ?
Soyons honnêtes : l’ADN de la vraie Deuche, c’est l’accessibilité sans prise de tête ni technologie inutile. Pas besoin d’ASEV ou de micro-hybridation surboostée si ça coûte un bras ! La prochaine vraie citadine populaire doit être réparable facilement (fini les blocs collés), modulable et assez épurée pour que même ta grand-mère s’y retrouve.
Mais aujourd’hui ? Le marché réclame toujours plus d’écrans multipliés et d’aides gadgets… Est-ce que Stellantis aura le cran d’aller à contre-courant ? S’ils tombent dans le piège du premium déguisé ou du pseudo low-cost façon Ami, ils perdront tous ceux qui veulent juste UNE bagnole fiable qui ne fait pas culpabiliser à chaque révision.
Une anecdote révélatrice : un ancien ingénieur Citroën m’a confié avoir été écarté d’un projet pour avoir voulu imposer un tableau de bord analogique minimaliste. La simplicité fait peur dans l’industrie automobile actuelle, pourtant c’est ce qui manque cruellement ailleurs.
La nouvelle 2CV : un choix à considérer sans compromis 🧐
Soyons honnêtes, on ne tient pas ici une énième voiture marketing vidée de son sens. Non, la nouvelle 2CV tape là où ça fait du bien : simplicité, mobilité durable, accessibilité réelle et personnalité à contre-courant des clones insipides. C’est plus qu’un revival : c’est un pavé dans la mare d’une industrie auto qui a oublié ce que « populaire » veut dire ! Sur le papier, sa promesse est claire : voiture légère, moderne mais sans gadgets superfétatoires, autonomie décente pour la vraie vie… et tarif annoncé bien en dessous des électriques premium. Les premiers bruits de couloir évoquent un modèle accessible (dès 15-20K€, bonus déduit), conçu pour ceux qui veulent une caisse qui roule sans se ruiner, sobre et différente. La Deuche version XXIe siècle ? Si Citroën va au bout du concept TPV moderne (minimalisme assumé, équipements essentiels seulement), on aura une citadine fun ET écolo.
La nouvelle 2CV ne sera pas qu’un véhicule, mais un manifeste pour une mobilité plus équitable et joyeuse.
Mais attention : rien n’est jamais simple dans le monde auto. Déjà, les puristes crient à la trahison dès qu’on ose toucher au mythe – ils préfèrent râler devant leur capot rouillé que voir l’esprit vivre autrement. Côté critiques sérieuses : certains pestent déjà contre un design trop SUV ou trop édulcoré (eh oui, les designers hésitent entre hommage et caricature…), d’autres pointent la limite d’autonomie ou la simplicité technique qui serait « dépassée ». Le vrai piège ? Un positionnement bancal qui rate son ADN populaire ou un tarif qui explose comme chez les concurrentes pseudo-accessibles. Bref : Citroën a zéro droit à l’erreur sous peine de finir au fond du bac à jouets oubliés.
Nouvelle 2CV : une révolution nécessaire ou un pari risqué ?
Mon avis est tranché. Si Stellantis ose aller au bout de l’idée – capote souple, poids plume et modularité accessible –, c’est LE carton assuré sur le marché urbain européen ! Ça pourrait réenchanter une génération gavée de SUV fades et reconnecter l’auto à ses racines populaires. Mais s’ils virent premium ou branlette gadget, ce sera mort-né direct ! Les clients veulent du vrai caractère – pas du fake néo-rétro postiche ni de l’éco-blabla qui coûte deux SMICs.
Pour les passionnés souhaitant vivre l’expérience Deuche et suivre les actualités, pensez à réserver votre place pour la Nationale 2CV 2025 à Agde. Vous pourrez y constater si l’esprit perdure ou si tout cela demeure un simple rêve d’ingénieur.
La 2CV : un symbole français qui renaît
Pas besoin d’en faire des caisses : la 2CV, c’est LE symbole auto français, point. Elle a roulé sur les clichés, traversé les époques sans chichis, et incarné l’idée même de liberté – celle de rouler simple, loin des diktats technos. Aujourd’hui, alors que tout le marché s’englue dans une uniformisation soporifique, la Deuche revient comme une promesse d’anti-aseptisation. Ce n’est pas juste une mode passagère ou un coup marketing nostalgique : c’est une vraie réponse à ceux qui rêvent d’une mobilité durable ET accessible.
Plus qu’un simple véhicule, la nouvelle 2CV pourrait réinventer le plaisir de conduire authentique – accessible à tous, sans snobisme ni gadgets superflus.
Ce retour ne se limite pas à une nostalgie douce. Il vise à reconnecter l’automobile à l’essentiel : ingéniosité, partage et liberté sur la route. Si Citroën parvient à relancer le mythe sans succomber au luxe superficiel ou aux gadgets inutiles, la 2CV deviendra bien plus qu’un souvenir : un symbole du renouveau populaire français.




