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Nissan sportives : le guide comparatif ultime GT-R, Z, Nismo et Skyline

En 2024, la Nissan GT-R tire sa révérence. Mais le constructeur japonais n’en a pas fini avec les sportives pour autant. La preuve avec ce guide ultra-complet.

15 min
Auto et moto
17 May 2025 à 23h07

La Nissan GT-R a marqué l’histoire de l’automobile. Mais si elle s’apprête à tirer sa révérence, le constructeur nippon n’en a pas fini avec les sportives pour autant. Entre la nouvelle Z Nismo, la lignée mythique des Skyline, les motorisations légendaires (RB26DETT, VQ37VHR, VR30DDTT) et les technologies frisson (ATTESA E-TS, Launch Control et télémétrie), Nissan continue d’écrire l’une des pages les plus passionnantes de l’histoire automobile. Son secret ? Une philosophie unique en son genre : celle de l’ultra-performance accessible au plus grand nombre. On vous raconte tout dans le guide le plus complet du web.

Top 5 des modèles Nissan sportives incontournables

Oubliez les discours tièdes et la nostalgie sucrée — la hiérarchie des Nissan sportives en 2024, c’est une histoire de chiffres purs, de châssis affûtés et d’héritage démontré sur le tarmac. On ne parle pas ici de folklore mais de données réelles, éprouvées sur circuit et dans la vraie vie. Voici le classement pour ceux qui ne veulent rien d'autre que du concret.

Le podium des Nissan sportives en 2024

La domination s’appuie sur trois piliers incontournables :

Modèle Couple (Nm) 0-100 km/h (s) Note circuit
GT-R R35 637 2,8 10/10
Z Nismo (2024) 520 4,0 8/10
Skyline GT-R R34 392 4,9 9/10

GT-R R35, toujours intouchable avec sa poussée typique du V6 biturbo et sa motricité ATTESA qui humilie même des propulsions plus récentes. La Z Nismo impressionne par son couple relevé et ses réglages châssis, mais reste moins radicale que la GT-R. Enfin, la R34, malgré son âge, demeure la reine du pur plaisir analogique — n’importe qui l’a déjà vu grimper les cols japonais sait que ce n’est pas un mythe.

Performance brute : GT-R R35 vs Z Nismo

Pour ceux qui veulent la vérité sans fioriture :
- Couple maximal : GT-R R35 (637 Nm dès 3 600 tr/min), Z Nismo (520 Nm dès 2 400 tr/min)
- Pression de suralimentation : GT-R R35 à plus de 1,2 bar d’origine ; Z Nismo atmosphérique retravaillé, zéro lag mais moins explosif à haut régime.
- Régime puissance max. : GT-R R35 (570 ch à ~6 800 tr/min), Z Nismo (420 ch à ~6 400 tr/min)
- Gestion thermique : La GT-R encaisse des tours chronos répétés grâce au refroidissement imposant ; la Z préfère les sessions courtes.

Les connaisseurs le savent : la plage d’utilisation large du V6 biturbo domine tout. Cependant, une Z bien pilotée offre une expérience plus viscérale, même si elle reste derrière au chrono.

La surprise abordable : 370Z et 350Z

N’en déplaise aux snobs du premium allemand — ces deux-là représentent le vrai ticket d’entrée dans l’univers Nissan sportif, sans vendre un rein !
- Mécanique VQ évolutive: Passage du VQ35DE (3.5L – jusqu’à 313 ch) sur la 350Z au VQ37VHR (3.7L – jusqu’à 331 ch) pour la 370Z ; levée du régime maximal et gestion électronique optimisée.
- Châssis & masses: Répartition quasi parfaite (53/47 sur la 370Z), rigidité accrue grâce aux renforcements planchers/piliers.
- Trains roulants & retouches Nismo: Amortisseurs spécifiques, barres anti-roulis épaissies et différentiel LSD mécanique sur les versions affûtées.

Nissan 370Z et Nissan 350Z côte à côte sur une route de montagne
Budget maîtrisé : ce duo offre un excellent compromis entre sensations et prix.

Comparatif technique des sportives Nissan : moteurs, châssis et transmissions

Osez regarder de près ce qui sépare les Nissan sportives des pâles copies — ici, tout tient dans la maîtrise d’ingénierie et de compromis mécaniques. On est là pour les vrais trucs : moteurs mythiques, transmissions à la pointe, châssis pensés pour l’attaque.

Moteurs emblématiques : RB26DETT, V6 3.0L biturbo et V6 3.7L atmosphérique

RB26DETT (Skyline GT-R R34)
- Architecture : 6-en-ligne, 2.6L, double ACT, bi-turbo séquentiel
- Puissance d’origine : 280 ch (bridage officiel, mais en vrai souvent bien plus)
- Points forts : Bloc acier ultra-solide (prépa >600 ch sans ouvrir), sonorité métallique, plage d’utilisation large
- Faiblesses : Sous-dimensionnement d’origine du refroidissement huile/eau ; turbos céramique fragiles en pression élevée

V6 3.0L Biturbo (GT-R R35 – VR38DETT)
- Architecture : V6 à 60°, alu intégral, bi-turbo
- Puissance d’origine : 485 à 570 ch selon millésime, jusqu’à 600+ sur Nismo
- Points forts : Suralimentations couplées à gestion électronique évoluée ; fiabilité en usage circuit répété ; potentiel illimité (>1000 ch préparé sans greffes lourdes)
- Faiblesses : Masse notable du bloc ; coût des périphériques racing

V6 3.7L Atmosphérique (Z Nismo – VQ37VHR)
- Architecture : V6 à 60°, double ACT, admission variable (VVEL)
- Puissance d’origine : jusqu’à 355 ch sur Z Nismo (Europe) / >370 ch sur versions JDM/US spécifiques
- Points forts : Réponse instantanée (zéro lag), fiabilité béton jusqu’à >7500 tr/min si suivi entretien irréprochable
- Faiblesses : Moins de punch à bas régime vs turbo ; prépa pure chère si on veut dépasser les 400 ch atmo

Comparatif des moteurs Nissan RB26DETT, VR38DETT et VQ37VHR

Transmission : ATTESA E-TS vs propulsions traditionnelles

ATTESA E-TS (GT-R) ? Un cerveau électronique analyse l’adhérence roue par roue ; il peut envoyer entre 2% et 50% du couple à l’avant en temps réel. Tout passe par une batterie de capteurs qui mesurent accélération latérale/longitudinale et vitesse de rotation — le système adapte alors le transfert de couple AV/AR pour maximiser la motricité… même sous la pluie ou dès que ça glisse.
Les propulsions classiques des Z/350Z ? Rien que le pilote et ses tripes — ça permet un drift plus naturel, mais aussi un vrai challenge si tu veux claquer un chrono sous pression.

Passer d’une propulsion pure à l’AWD intelligent Nissan ? Ça c’est autre chose ! Tu comprends vite que t’as changé de catégorie : niveau efficacité sur circuit mouillé ou en sortie d’épingle serrée… aucun espoir pour une simple propu face à l’ATTESA bien calibrée.

Châssis et suspension : du dérivablen à la suspension pilotée

La Skyline R34 bossait avec une suspension indépendante à double triangulation tous azimuts — résultat : agilité légendaire mais compromis confort limité. La GT-R R35 débarque avec Bilstein DampTronic pilotés, réglables instantanément selon le mode choisi — du béton armé au velours sportif.
La rigidité de coque atteint ici un sommet côté GT-R moderne (⭐️⭐️⭐️⭐️ - rigidité) mais la polyvalence reste plus équilibrée sur les anciennes Z (⭐️⭐️⭐️ - polyvalence) grâce leur gabarit compact et une direction moins filtrée.
Une anecdote qui tue ? Des pilotes pros confient avoir « perdu leurs repères » en passant direct d’une Z affûtée à une GT-R R35 stock tant la différence de grip/lisibilité est brutale !

Les déclinaisons Nismo : quand Nissan sort les griffes

Nissan GT-R Nismo et Nissan Z Nismo 2024 côte à côte sur un circuit

Philosophie Nismo : de la piste à la route

Oubliez les badges pour frimeur — Nismo, c’est l’esprit d’ingénierie sauvage et l’exigence sans compromis. Né en 1984 pour apporter le meilleur du circuit sur route ouverte, le département Nissan Motorsport ne fait pas dans l’à-peu-près : chaque composant passé par Mizuno-san et ses ingénieurs doit valider sa légitimité sur piste avant de finir sur une voiture homologuée. L’équipe regroupe pilotes d’essai et techniciens qui ne jurent que par la performance réelle, mesurée, pas du blabla marketing. On est là pour transformer un coupé sage en machine à chrono qui supporte le quotidien sans broncher.

“On n’est pas là pour faire joli : on est là pour les vrais trucs.”

GT-R Nismo R35 et ses 600 ch : caractéristiques clés

Là, on passe au niveau supérieur. La GT-R Nismo R35, c’est un arsenal de technologie pure :
- Aérodynamisme actif : lame avant, diffuseur carbone, spoiler XXL — tout pensé pour générer plus de 100 kg d’appui supplémentaire à haute vitesse.
- Freins carbone-céramique : pincement brutal sans fading, disque allégés (presque 17 kg de gain).
- ECU recalibré : cartographie moteur revue en profondeur ; gestion turbo (surpression up à 1.5 bar), réponse réactive à tous les régimes.
- Échappement Akrapovic titane : poids contenu, sonorité métallique unique.
- Suspensions Bilstein DampTronic calibrées semi-piste

Checklist modifs clés :
- Aérodynamisme majoré (carbone/appendices dédiés)
- Freinage carbone-céramique spécifique
- ECU + turbo recalibrés (puissance 441 kW / couple >650 Nm)
- Suspensions semi-actives réglables
- Ligne Akrapovic titane exclusive

Une anecdote ? Les ingénieurs ont avoué que l’algorithme du contrôle de launch a été bridé volontairement… parce qu’il « pulvérisait » les transmissions en mode full ! On est là pour la fiabilité aussi.

Z Nismo 2024 : évolution, tarifs et nouveautés

La Z Nismo 2024 ne vient pas jouer la figuration — elle s’offre une refonte châssis complète et une électronique affûtée. Voici pourquoi ce modèle rebat toutes les cartes du segment coupé sport abordable :

Évolution Gain performance Prix NTTC
Renforts de trains roulants + suspensions affermies Précision accrue en appui/répétabilité circuit ~73 800 €
Optimisation moteur (V6 biturbo 420 ch) Couple maxi disponible plus tôt (580 Nm dès 2 000 tr/min)
Mode Track + calibrage boîte auto perfectionné Temps au tour réduit (-2 s vs version standard)
Kit carrosserie/aéro optimisé by NISMO Appui sup. & look unique
Freinage majoré (disques ventilés/perf.) Endurance circuit améliorée
Production limitée/dispo restreinte Europe Exclusivité réelle !

Inutile d’attendre une remise : ici, t’achètes de la vraie perf’, pas un logo collé sur des housses rouges.

Histoire et héritage : la lignée Skyline GT-R

Impossible de discuter Nissan sportives sans s’attaquer au mythe Skyline GT-R. Ici, pas de demi-mesure : chaque génération a mis un uppercut à la concurrence, non seulement sur la fiche technique, mais aussi en vrai, chrono en main.

Toutes les générations Skyline GT-R alignées sur une piste, moteur exposé

Genèse : Skyline 2000 GT-R C10 et C11 Fastback

Dès 1969, la Skyline 2000 GT-R (PGC10/KPGC10) frappe fort. Ce n’est pas une simple berline vitaminée : elle embarque le légendaire moteur S20, un 6-en-ligne double ACT 2.0L, 160 ch réels — bien au-dessus des watts annoncés par la concurrence nippone à l’époque. Montage Prince, tirage ultra-limité (moins de 2 000 unités pour les C10/C11 Fastback), look droit sorti du paddock.

  • Moteur S20 : dérivé direct du proto de course Prince R380 ; double ACT, 24 soupapes ; chant métallique brutal.
  • Palmarès JTC : dominante absolue avec plus de 50 victoires en moins de trois ans – tout le monde s’incline face à la Skyline sur Fuji ou Suzuka.
  • Tirage limité : modèles collectors aujourd’hui inaccessibles (prix stratosphériques, pièces d’origine introuvables).

Âge d’or : R32, R33 et R34 M-Spec Nür

Là où les autres se contentent d’un restylage fainéant, chaque itération fait exploser le concept sportif :

🏁 R32 : transmission intégrale ATTESA E-TS + anti-lag maison = terreur absolue des circuits et rallyes dans les années 90. [Note : 4/5 – polyvalente et rageuse.]

🏁 R33 : confort accru (châssis allongé/stabilisateur actif HICAS), mais poids en hausse. N’empêche que c’est la première japonaise à claquer moins de 8 min sur le Nürburgring… Pour les puristes ? Un peu trop civilisée. [Note : 3,5/5 – confort modernisé.]

🏁 R34 M-Spec Nür : sommet technologique RB26DETT poussé à bout (refroidissement majoré, turbo renforcé) ; télémétrie embarquée façon proto d’endurance ; mécanique taillée pour la piste du matin au soir sans broncher. [Note : 5/5 – aboutissement ultime.]

Transition vers la GT-R moderne : la berline devenue supercar

Fini l’époque Skyline familiale dopée aux hormones ! La rupture est franche avec l’arrivée de la R35 en 2007 —
la voiture s’émancipe du badge « Skyline » pour devenir une vraie supercar mondiale. Châssis monocoque dédié (rien à voir avec une banale berline), traction intégrale gérée par électronique fine (ATTESA E-TS Pro), moteur V6 biturbo VR38DETT qui explose tous les standards japonais…

Attention : on est passé d’une base utilitaire « pratique » à une machine radicale où seul le chrono compte – c’est une évolution majeure.

Technologies et innovations qui donnent le frisson

Oubliez les gadgets pour commerciaux à cravate : chez Nissan sport, la tech c’est pour taper du chrono – pas pour la déco. Ceux qui veulent du factuel vont être servis : on attaque ce qui distingue vraiment les GT-R et Nismo de tout le reste.

Télémétrie embarquée et aides à la conduite sportives

La GT-R ne plaisante pas avec l’analyse de pilotage. Ici, c’est le monitor multi-fonctions directement inspiré du SuperGT japonais : tu as accès à une télémétrie complète sur piste, en temps réel ou après roulage. Modules intégrés ? Chrono au tour, G-meter (forces latérales/longitudinales), logging sessions avec export des datas — oui, comme en catégorie LMP2 !
- Modules inclus :
- Chrono intégral (stocke chaque tour)
- G-meter graphique
- Logging sessions exportables
La cerise ? Le VDC (Vehicle Dynamic Control) passe en mode Sport et laisse plus de liberté au pilote sans jamais te laisser ruiner ta caisse dès qu’un vibreur te tente trop fort.

Écran multi-fonctions de télémétrie Nissan GT-R Nismo

Aérodynamisme actif et appui généré

Pas de mythe ici – l’aéro des Nissan GT-R joue dans une autre ligue. Le package Nismo brille par ses surfaces mobiles :
- Splitter variable en fonction de la vitesse : réduction du drag en ligne droite, agressivité totale en courbe.
- Aileron arrière à angle ajustable (manuel ou électronique selon version) : plus d’appui dès que ça monte à 250 km/h+.
- Diffuseur full carbone optimisé CFD… tout est pensé pour plaquer la bagnole au sol — plus de 150 kg d’appui généré à 300 km/h sur les derniers modèles R35 Nismo. Voilà pourquoi tu peux freiner plus tard que tous ces blaireaux en pseudo-supercars !

Aileron mobile et diffuseur en carbone de la Nissan GT-R Nismo

En session privée Fuji Speedway, certains pros réussissent des appuis latéraux dépassant 1,6G grâce à l’aéro active — cherchez ailleurs ce genre d’efficacité…

Matériaux et allègement : de la carrosserie aux freins carbone

Ici c’est brutal : aucun compromis sur le poids mort. L’aluminium est partout où il faut (toit, supports moteur), mais surtout le CFRP (carbone renforcé polymère) explose sur les modèles Nismo : capot ultra-léger, ailes élargies spécifiques, toit sandwich composite pour rabaisser le centre de gravité. Côté freinage ? Disques carbone-céramique allégés = inertie réduite, endurance décuplée même après dix tours full attack.
- Éléments allégés :
- Capot carbone véritable
- Toit alu/composite
- Supports moteur alliage compétition
- Freins disques carbone-céramique racing

Détails du capot en carbone et des freins de la Nissan GT-R Nismo
Chaque gramme gagné se ressent directement sur le chrono — demandez aux équipes privées du Time Attack Japon.

Acheter une Nissan sportive : conseils pour ne pas se planter

Tu penses jouer dans la cour des grands ? Rater ton achat ici, c’est direct la purge financière… Voilà le guide sans pincettes, pour ceux qui refusent de se faire avoir.

Road-map d’achat : neuf, occasion, importation

  • Neuf : Garantie constructeur béton, zéro stress sur l’historique. Par contre, malus CO2 délirant (jusqu’à 60 000 € sur GT-R neuve en France !), dispo ultra-limitée.
  • Occasion : Économie directe sur la cote (compte 15 à 25% de moins vs neuf), choix plus large. Attention à l’état réel : historique limpide ou c’est non. Les modèles <10 ans dégustent toujours un malus résiduel dégressif.
  • Import : Souvent le ticket d’entrée le plus malin — économies franches (jusqu’à -25% selon provenance) et accès à des versions/éditions inédites européennes ou Japon. MAIS prévois homologation (frais de mise aux normes / UTAC-DRIRE), adaptation phares/compteurs et paperasse fiscale…

Points de contrôle : kilométrage, entretien Nismo, état du châssis

Avant de signer quoi que ce soit, il y a des basiques inratables :

  • Kilométrage maximal recommandé : < 80 000 km pour éviter les turbos rincés et transmissions fatiguées
  • Carnet d’entretien complet (factures Nismo = gros atout)
  • Contrôle corrosion châssis (surtout import UK/JAP)
  • Turbos sans jeu anormal / bruit suspect (>80 000 km = contrôle obligatoire)
  • Train avant et silent-blocs spécifiques (Nismo et R35 fragiles si usage piste)
  • Freins carbone-céramique : vérifier fissures/disques voilés/cout remplacement
  • Vérifier électronique embarquée/télémétrie opérationnelle

Checklist d'inspection en atelier pour la Nissan GT-R

Budget global : assurance, pièces et reprogrammation

Catégorie Coût annuel estimé
Assurance tous risques 2 500 - 5 000 €
Entretien courant 2 000 - 3 500 €
Pièces détachées Jusqu’à 3x prix gamme classique
Pneus semi-slick ~1 200 € le train
Reprog moteur/ECU 800 – 2 000 €

Si tu veux vraiment rouler fort ET dormir tranquille, vise un budget global annuel >7k pour une GT-R bien suivie… sinon prépare-toi aux galères !

Conclusion : pourquoi les Nissan sportives restent incontournables

La GT-R impose sa loi — chrono après chrono, elle humilie des supercars deux fois plus récentes, preuve vivante que l’âge n’a rien à voir avec la domination sur circuit ! Nismo, loin du marketing fade, livre la quintessence de la performance brute : chaque détail technique sert le chrono, pas l’esbroufe. Rouler Nissan sportive, c’est choisir un compromis rare : de vraies sensations tous les jours et la certitude de miser sur une machine qui n’a jamais sacrifié l’essentiel pour plaire à tout le monde.

Nissan sportives : le guide comparatif ultime GT-R, Z, Nismo et Skyline

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