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Tesla Roadster : performances, prix, date de sortie et analyse complète

La Tesla Roadster, c’est la promesse d’un bolide capable de mettre la misère à toutes les supercars thermiques. Mais surtout, l’une des plus grosses arlésiennes de l’histoire automobile. On t’explique pourquoi.

18 min
Auto et moto
9 November 2025 à 9h26

En novembre 2017, Elon Musk dévoilait la Tesla Roadster. Une voiture électrique à l’allure de supercar, capable d’atteindre les 100 km/h en moins de 2 secondes, de filer à 400 km/h et d’afficher 1.000 km d’autonomie. Le tout à partir de 200.000$. Une prouesse technique censée mettre un point final au "stigma" des voitures électriques. Et dont la production devait démarrer en 2020. Mais voilà : près de 6 ans après son annonce, le Roadster se fait toujours attendre. Les promesses s’enchaînent et se ressemblent, le modèle semble toujours plus ambitieux — mais la voiture, elle, reste introuvable. Alors, que se passe-t-il ? Pourquoi un tel retard ? Va-t-on un jour voir la couleur de ce monstre roulant ? Et d’ailleurs, en a-t-on vraiment envie ?

Tesla Roadster : une attente interminable ou un futur monstre électrique ?

Tesla Roadster, suspense et brouillard high-tech

Ah, la Tesla Roadster… Il fallait oser démarrer ce cirque de supercar électrique avec une promesse à faire trembler les Veyron et consorts. On est là pour les vrais trucs : pas pour rêver devant un concept-car poussiéreux. Elon Musk débarque en 2017 et balance des specs qui font passer la concurrence pour des amateurs : 0 à 100 km/h en 1,9 secondes, plus de 400 km/h en pointe, près de 1 000 km d’autonomie si t’es du genre à rester sur autoroute sans toucher la pédale. La folie.

Ce qui frappe dès le début, c’est l’écart entre la communication démente du boss de Tesla et la réalité industrielle derrière. Parce que bon, annoncer qu’on va coller une fusée sous le capot avec un "SpaceX package" pour propulser le tout façon Falcon Heavy… Faut quand même avoir mangé du lion au petit déjeuner !

« The point of doing this is to just give a hardcore smackdown to gasoline cars » – Elon Musk, 2017.

Le Roadster n’était pas juste censé être une voiture, mais l’étendard technologique du savoir-faire Tesla. C’est là où ça pique : personne n’a oublié que la toute première Tesla (celle basée sur Lotus Elise) avait déjà secoué le bocal des thermiques en 2008. Mais tout ce qu’il y a autour de cette nouvelle génération, c’est du show à l’américaine… et un soupçon de mirage industriel.

Wikimedia Foundation ou Creative Commons ? Ils ont leur rôle dans la propagation des infos techniques, mais franchement, sur le dossier Roadster version deux-point-zéro, même eux ils galèrent à trouver du concret autre que des slides PowerPoint survitaminés. Pour te dire, c’est parfois plus facile d’obtenir les plans secrets d’une centrale nucléaire que des specs validées par autre chose qu’un tweet d’Elon un soir de lune montante.

La promesse initiale : quand la folie Tesla a frappé

La promesse était claire : renvoyer tout ce qui roule à essence au musée. Avec des chiffres impossibles affichés fièrement sur scène (et sur Twitter), le Roadster s’annonçait comme l’arme absolue pour mettre la misère sur circuit ET sur autobahn.

Petit flashback bien connu des fanboys: lors du lancement surprise en novembre 2017, personne n’avait vu venir cette annonce ; même pas les équipes internes chez Tesla selon certaines rumeurs !

Le parcours chaotique des annonces : 2017, 2020, 2023... et maintenant ?

Franchement ? Si tu veux t’amuser avec tes potes lors d’un blind test "dates de sortie foireuses", prends l’exemple du Roadster ! Chronologie express pour ceux qui suivent pas :

  • 2017 : Présentation officielle – "Dispo en 2020 garanti !" (selon Elon Musk, toujours chaud patate)
  • 2020 : "Oups, petit délai technique" – repoussée officiellement à 2022, histoire de gagner du temps pendant qu’on termine le Semi et le Cybertruck.
  • 2022 : "En fait c’est pas encore prêt" – reporté à 2023 officiellement suite aux problèmes industriels mondiaux... Et aussi parce qu’entre IA et camions électriques, la supercar passe derrière dans la roadmap.
  • 2023 : Toujours rien dans les concessions – Elon relance un tour de teasing en mode "ça arrive vraiment bientôt", mais on commence sérieusement à douter que même ses ingénieurs aient vu le prototype rouler ailleurs qu’en simulation !

Derrière ces annonces en mode montagnes russes ? Des priorités qui changent tous les quatre matins chez Tesla. Un jour on veut sauver le monde avec un camion autonome ; le lendemain on promet une navette autonome pour robotaxis… Le Roadster devient presque un outil marketing plus qu’un projet réel. On commence à se demander si ce n’est pas simplement une excuse parfaite pour maintenir hype et dépôts de réservation qui dorment depuis six ans sur les comptes bancaires californiens.

Et pendant ce temps-là ? Les vrais amateurs attendent comme des lions en cage : sceptiques mais toujours curieux… Parce que si jamais cette machine sort VRAIMENT un jour — alors là oui, ça pourrait être autre chose.

Performances annoncées : des chiffres impressionnants mais à prendre avec prudence

0 à 100 km/h : plus rapide qu'une fusée ? Les chiffres qui font rêver

On attaque direct. Tesla annonce un 0 à 100 km/h en… 1,9 seconde. Même pas besoin d’inventer, c’est noir sur blanc sur leur site, relayé partout. Pour te donner une idée : la Bugatti Chiron, reine thermique à 2,4 millions l’exemplaire, tape du 2,4 secondes. La Rimac Nevera ? 1,85 s mesurés (avec des pneus semi-slicks et un mode drag). Mais la différence, c’est que la Rimac existe, elle roule vraiment sur circuit et elle arrache les tripes aux essayeurs pros.

Le Roadster ? Il promet encore mieux. Mais "promet", c’est le mot clé ici… Aucun prototype n’a jamais été vu faire cette perf en vrai, ni chronos certifiés dans la presse sérieuse. On serait devant le genre de "sleeper" absolu si Musk sortait une auto capable de mettre une double claque à tout ce qui roule – électriques et thermiques confondues – sans même faire de bruit.

Mais pour l’instant, ça reste du fantasme d’ingénieur (ou de marketeux ?). Si tu veux voir ce que donne une vraie accélération extrême façon drag-strip, voilà ce que ça donne sur du concret :

Bref : tant qu’on n’aura pas vu un chrono officiel avec témoins sur place… on garde les pieds sur terre !

Autonomie record : le bout du monde en électrique, vraiment ?

L’autre promesse de malade mental : 1 000 kilomètres d’autonomie annoncés (source Tesla officielle et relayée par tous les médias auto sérieux). Déjà là tu sens venir le loup. Parce que bon, aujourd’hui même une Model S Plaid bien optionnée flirte péniblement avec les 600-650 km en usage mixte (cycle WLTP). Alors imaginer une supercar qui colle autant à la route qu’une ventouse réussir ce chiffre avec des batteries compactes et un aérodynamisme taillé pour la vitesse… Il faut aimer croire au Père Noël.

Pour comparer l'autonomie entre modèles électriques il faut regarder les cycles de tests utilisés : WLTP (plus optimiste pour l’Europe), EPA (plus réaliste aux USA) ou NEDC (complètement lunaire et obsolète). La plupart des annonces constructeurs sont faites dans des conditions idéales : vitesse stabilisée, température parfaite et pneus surgonflés. Dans la vraie vie ? Si tu attaques comme il faut ou si tu prends l’autoroute à bonne allure… ciao les records.

Alors oui : sur le papier tu peux traverser la France sans recharger. Mais si tu veux exploiter ne serait-ce qu’un tiers des perfs promises pour doubler un camion ou t’amuser deux minutes ? L’autonomie fond plus vite qu’un sorbet citron posé au soleil d’août.

Anecdote méconnue : certains insiders affirment que lors des salons où le Roadster était exposé sous verre en statique, aucune donnée réelle d’autonomie ne filtrait auprès des journalistes techniques. De quoi renforcer les soupçons sur ces chiffres ultra-optimistes relayés en boucle…

Vitesse de pointe et puissance : le combat contre les lois de la physique

Là aussi Tesla sort l’artillerie lourde : vitesse de pointe annoncée à plus de 400 km/h, couple délirant de 10 000 Nm (!), puissance largement au-dessus des ténors actuels mais jamais communiquée officiellement en chevaux… Ça commence à chatouiller méchamment les limites technologiques actuelles.

C’est simple : maintenir plus de 400 km/h pendant plusieurs kilomètres avec une électrique homologuée route semble aujourd’hui limite utopique, sauf à vider sa batterie comme on vide une bouteille d’eau après un marathon… Et attention aux pneus : il faudrait du Michelin Cup ultra-renforcé spécial Veyron ou Koenigsegg juste pour ne pas finir en lambeaux au premier run !

Et que dire du fameux "SpaceX package" – ces mini-propulseurs censés améliorer l’accélération via du gaz comprimé façon booster spatial ? Sur le plan technique c’est fascinant mais totalement borderline côté législation routière ET sécurité. Pour rappel : aucun client n’a jamais touché ce pack ni vu une démo publique crédible.

On est là pour les vrais trucs : tant qu’aucune caméra indépendante n’aura immortalisé le Roadster en train de mettre la misère sur circuit ET d’aller pointer son nez au-delà des 400 compteur… on restera sceptique devant ces specs lunaires.

Les raisons du retard et les défis derrière les promesses de Musk

Les défis technologiques : batterie, aérodynamisme, et le fameux pack SpaceX

Concept de la Tesla Roadster : un design futuriste qui doit encore faire ses preuves sur la route.

On ne va pas tourner autour du pot : si le Tesla Roadster n’existe toujours pas sur les routes, c’est parce que la techno derrière fait carrément suer même les meilleurs cerveaux de Palo Alto. La batterie d’abord, c’est LE talon d’Achille. Pour coller un 0 à 100 en moins de deux secondes ET aligner 1 000 bornes d’autonomie, il faut une densité énergétique jamais vue sur voiture de série. Sauf qu’une batterie aussi compacte, légère ET capable de délivrer des mégawatts en rafale… aujourd’hui c’est limite une licorne. La gestion thermique, pareil : tu veux envoyer du jus sans que tout fonde ou parte en fumée ? Bon courage ! Un run à fond et tu peux transformer ta caisse en plaque chauffante pour kebab.

L’aérodynamisme ? Sur le Roadster, chaque millimètre compte. Il faut réduire la traînée pour ne pas flinguer l’autonomie dès que tu dépasses les 200 km/h, tout en plaquant la bagnole au sol histoire de survivre à plus de 400 compteur. On parle d’un niveau digne des F1 modernes, avec des spoilers et des diffuseurs actifs ultra-tech — sauf que là, ça doit marcher sur route ouverte ET passer le crash-test.

Le châssis enfin : il doit encaisser un couple monstrueux (plusieurs milliers de Nm annoncés !). Tu veux transmettre ça aux quatre roues sans tout tordre ni ruiner la tenue de route ? Il faut des composites, des alliages jamais vus dans la grande série. Sans parler du délire "SpaceX package" (mini-propulseurs à gaz)… On est là aux frontières du réalisable pour une bagnole civile homologuée.

Anecdote parlante : selon certains ingénieurs proches du projet, même chez Tesla on teste encore plein d’architectures différentes — preuve que rien n’est verrouillé. Les communiqués font rêver mais dans les labos c’est l’expérimentation permanente.

Les priorités fluctuantes de Tesla : Semi, Cybertruck, et l'IA avant la supercar ?

On connaît la chanson : chez Tesla on annonce tout feu tout flamme puis… on change d’avis comme de chemise ! Le Roadster devait sortir "demain matin", mais depuis Musk a mis toutes les billes ailleurs. Le Semi Truck (camion électrique) capte toute l’attention côté batterie hautes performances. En parallèle on a vu débarquer le Cybertruck, ovni roulant qui a monopolisé chaînes et cerveaux côté design/production. Et pendant ce temps ? L’IA maison (Full Self Driving), carrément qualifiée de priorité suprême par Musk lui-même — voir ses déclarations lors des conférences investisseurs.

Résultat : le Roadster recule dans la file d’attente. Ce n’est pas juste une question industrielle – c’est un vrai choix business. Les priorités changent tous les trimestres parce que le marché dicte sa loi et Musk veut griller tous ses concurrents sur les segments porteurs… quitte à laisser dormir ses réservataires Roadster avec une belle facture d’acompte sous le bras !

Tu cherches combien vaudra vraiment une Tesla électrique prochainement ?

La stratégie marketing : le report comme outil de communication ?

Franchement : y’a un vrai génie marketing là-dessous (et parfois un peu trop). Repousser sans cesse le lancement du Roadster permet à Tesla d’entretenir le buzz quasi gratuitement. Chaque tweet d’Elon Musk est analysé comme si c’était une révélation du Pentagone — alors qu’on parle parfois juste d’un PowerPoint revisité ou d’une punchline balancée tard dans la nuit… C’est fort parce que ça fait vivre l’image high-tech et visionnaire du groupe même quand rien ne roule vraiment.

Ce n’est pas nouveau chez Musk : même scénario pour le Cybertruck où chaque retard relance l’intérêt média, repoussant encore plus loin les limites du teasing mondial façon James Bond version LinkedIn. Sauf qu’à force de jouer avec la hype sans livrer derrière, tu finis par frustrer ta base hardcore — ceux qui veulent rouler vite ET maintenant.

C'est ça, le système Musk : jouer sur toutes les attentes pour imposer son tempo... Tant pis si derrière il faut repasser trois fois la commande usine ou changer radicalement de direction stratégique entre deux trimestres.

Le coût de l'exclusivité et de la technologie à venir

Le tarif annoncé : un premier jet qui donnait déjà le tournis

Tu veux une Tesla Roadster ? Va falloir sortir le chéquier XXL. Le tarif balancé par Musk depuis 2017 oscille toujours entre 200 000 et 250 000 dollars US pour l’entrée de gamme, soit dans les 230 000 à 270 000 euros au taux actuel (hors options, taxes ou malus bien saignants chez nous). Un acompte d’environ 43 000 € était même exigé pour réserver son exemplaire, histoire de départager les rêveurs des vrais mordus du portefeuille musclé. Un tarif qui place direct la Roadster dans le club fermé des hypercars électriques, même si on n’a toujours pas vu rouler un seul exemplaire définitif sur bitume.

Mais attention, là c’est juste le ticket d’entrée ! Chez Tesla, comme chez Ferrari ou Porsche, t’as une vraie liste Father Christmas d’options délirantes :

  • Peinture exclusive (on parie sur des couleurs inédites à supplément astronomique)
  • Intérieur full carbone ou cuir premium, avec inserts personnalisés façon supercar italienne
  • Pack SpaceX (mini-propulseurs à gaz) : la blague préférée de Musk mais qui pourrait faire flamber la facture et provoquer quelques sueurs froides côté homologation
  • Systèmes audio surboostés, jantes racing, coques baquet ultra-light… Rien que du clinquant "digne des cinglés de circuit"

Inutile de préciser que chaque option te rapprochera très vite des sommets tarifaires connus uniquement par les ultra-riches. Et franchement ? Le prix final sera un test grandeur nature sur la crédibilité du projet — parce qu'à ce niveau d'investissement, faut du solide, pas juste un badge Tesla.

À ce prix-là, tout écart entre promesse et réalité sera scruté au microscope. Certains attendent encore le remboursement de leur acompte depuis… 2017 !

Pour comparer avec du concret sur l’ensemble de la gamme électrique Tesla (et pas que pour les millionnaires), mate notre guide ultime : Prix Tesla électrique 2024 : guide comparatif, bonus et coût d’usage (TCO).

Comparatif avec la concurrence (potentielle) : le Roadster restera-t-il pertinent ?

Là où ça pique fort : pendant que Tesla promet l’impossible à coups de slides PowerPoint et SpaceX pack en teasing permanent, la concurrence avance VRAIMENT. Tu veux du brutal ? La Rimac Nevera, c’est déjà là : près de 2 millions d’euros, plus de 1 900 ch, records officiels en accélération ET vmax… Ça roule en vrai tous les jours chez certains clients fortunés. Même combat pour le monstre chinois BYD Yangwang U9 Track Edition : plus de 3 000 ch annoncés, lancement imminent sur le marché asiatique… sans parler des promesses lunaires autour des futures hypercars NIO ou Lotus Evija.

Du côté thermique ? Les dinosaures comme Bugatti Chiron ou Koenigsegg Jesko balancent toujours leurs chevaux avec une brutalité mécanique difficile à égaler… mais eux livrent quand même leurs voitures aux clients !

Si le Roadster continue à se faire désirer jusqu’en 2025 ou plus loin, il risque carrément de passer pour un coup marketing dépassé avant même d’avoir posé une roue sur circuit. Les specs affichées aujourd’hui seront peut-être banales quand — ou si — il sort vraiment. Et dans ce milieu-là, se faire griller par Rimac ou BYD sur les perfs ou l’exclu', c’est la honte intersidérale.

Un seul constat : dans la jungle des hypercars électriques qui explosent tous les repères chaque année… Le Roadster n’aura pas droit au moindre faux-pas s’il veut encore marquer l’histoire.

Tesla Roadster : entre symbole et réalité, un avis critique

Le verdict sans appel : promesses, réalités, et notre patience mise à rude épreuve

Il faut arrêter de tourner autour du pot, là. Le Tesla Roadster nouvelle génération, c’est le champion toutes catégories des annonces à rallonge : chaque année une deadline repoussée, chaque mois une punchline de Musk pour entretenir la sauce… et toujours zéro vrai modèle dans la rue ou sur circuit. Les mecs qui ont mis leur acompte en 2017 doivent avoir l’impression d’attendre un ticket resto au guichet de la préfecture ! Franchement, tout le monde dans le milieu commence à saturer sévère : ça râle sur les forums, ça troll sec sur les réseaux. Tesla nous vend du rêve mais nous sert du PowerPoint. On est là pour les vrais trucs, pas pour une arlésienne qui joue à cache-cache avec la réalité industrielle.

L'héritage du premier Roadster : une icône qui mérite mieux qu'une sortie de scène ratée

Petit rappel utile pour ceux qui débarquent : le premier Tesla Roadster, lancé en 2008 (sur base de Lotus Elise), c’est LA bagnole qui a montré qu’une électrique pouvait mettre la misère à pas mal de thermiques côté accélération et fun. Sans lui, ni Model S ni révolution EV – c’était le vrai choc thermique chez les puristes ! Voir sa descendance sombrer dans le flou marketing et les reports à gogo, ça fait franchement mal aux amoureux du genre. Cette icône pionnière mérite un successeur digne de ce nom… Pas juste un concept figé sous cloche pendant que la concurrence explose tous les compteurs. Et si t’as envie de comparer l’audace d’un outsider chinois face au mythe Tesla, mate donc ce duel inédit : Xiaomi YU7 vs Tesla Model Y : prix, autonomie réelle, recharge ultra-rapide et comparatif 2025.

Ce que l'on attend VRAIMENT du Roadster (et pourquoi on est sceptiques)

Ce qu’on veut ? Une bagnole réelle. Pas juste des chiffres atomiques balancés sur scène ou des tweets nocturnes façon « bientôt elle volera » comme dernièrement chez Rogan. Les passionnés veulent voir un engin produit en série, fiable ET capable d’atomiser la concurrence sur route ou circuit – pas juste en simulation.

Le scepticisme est simple : aucune preuve concrète depuis toutes ces années, rien de palpable côté presse indépendante, et Tesla change ses priorités à chaque trimestre au gré du buzz.

Potentiel technique ? Oui. Mais tant que c’est pas livré-clé-en-main avec chrono homologué… ça reste du vent high-tech qui lasse même les plus mordus.

Tesla Roadster : un futur incertain entre espoirs et doutes

Tesla Roadster, c’est toujours la bagnole de Schrödinger : à la fois future icône et chimère industrielle. Potentiel technique explosif, marketing XXL, mais une réalité qui se fait désirer. Elon Musk et sa team jouent avec nos nerfs autant qu’avec leur légende – entre prouesse à venir ou mirage éternel ? La vraie question : on l’attend encore… ou on passe à autre chose ?

Attention : toutes les infos sur la date de sortie et les specs réelles du Tesla Roadster sont susceptibles d’évoluer à tout moment, rien n’est gravé dans le marbre tant que Tesla n’a pas livré une caisse roulante !
Tesla Roadster : performances, prix, date de sortie et analyse complète

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