C’est sans doute le plus gros scandale industriel de l’automobile française. Les moteurs PureTech 1.2 de Peugeot, Citroën et DS souffrent de défauts rédhibitoires qui menacent de les rendre hors d’usage dès 50.000 km. Un désastre qui pourrait coûter des milliards à Stellantis — et des milliers d’euros aux propriétaires concernés.
